Peut heurter la sensibilité de certains
Deux femmes alitées, enjôleuses, sur une plage du Pacifique
Deux icônes , préposées, sur le sable mauve-orangé à s'aimer
Allongée prés de sa compagne , l'une lascive dans une pose érotique
L'autre , doit être sortie tout droit d 'un Gauguin, sur son fessier
Assise, une jambe repliée, scrute l'océan qu'elle vient juste de quitter
Elle a cette peau d'ambre, où scintillent des perles salines évaporées
Autour de sa taille , un collier de coquillages, la main de son amie voyage
Tandis que ses doigts caressent l'intime du satin pubien , ils s'engagent
Et chevauchent harmonieusement le labyrinthe d'opale , un doux cri
Accompagne le roulis des vagues tièdes , lécheuses de pieds
Belles telle une toile , les corps sont nus ,brunis par le violet des rais
Les jupes de feuilles nonchalantes et les brassières de fleurs, ahuries
Baissent les yeux devant la soudure des Marquises de la maison du jouir
Un va et vient de négresses accoutrées d'oripeaux de couleur de peau
On y enregistre l'allégresse des mots, un moment plein d'instincts chauds
Les femmes roulent accolées aux nuages, une harmonie dans les soupirs
Aux balancements de leurs hanches, la splendeur colorée de la nature tropicale
Se délecte de leurs jeux, sur leurs lignes horizontales, à plat ventre , coniques
Ou renversées , elles font l'amour ,un prélude de Venus en unité plastique
Le calme soudain , confesse leur plaisir, l'ivresse d' arabesques de Vestales...
Un clin d'oeil à Gauguin...
Deux femmes alitées, enjôleuses, sur une plage du Pacifique
Deux icônes , préposées, sur le sable mauve-orangé à s'aimer
Allongée prés de sa compagne , l'une lascive dans une pose érotique
L'autre , doit être sortie tout droit d 'un Gauguin, sur son fessier
Assise, une jambe repliée, scrute l'océan qu'elle vient juste de quitter
Elle a cette peau d'ambre, où scintillent des perles salines évaporées
Autour de sa taille , un collier de coquillages, la main de son amie voyage
Tandis que ses doigts caressent l'intime du satin pubien , ils s'engagent
Et chevauchent harmonieusement le labyrinthe d'opale , un doux cri
Accompagne le roulis des vagues tièdes , lécheuses de pieds
Belles telle une toile , les corps sont nus ,brunis par le violet des rais
Les jupes de feuilles nonchalantes et les brassières de fleurs, ahuries
Baissent les yeux devant la soudure des Marquises de la maison du jouir
Un va et vient de négresses accoutrées d'oripeaux de couleur de peau
On y enregistre l'allégresse des mots, un moment plein d'instincts chauds
Les femmes roulent accolées aux nuages, une harmonie dans les soupirs
Aux balancements de leurs hanches, la splendeur colorée de la nature tropicale
Se délecte de leurs jeux, sur leurs lignes horizontales, à plat ventre , coniques
Ou renversées , elles font l'amour ,un prélude de Venus en unité plastique
Le calme soudain , confesse leur plaisir, l'ivresse d' arabesques de Vestales...
Un clin d'oeil à Gauguin...
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